Edito

Edito
​​​​​​​Entre deux orages, mais sous un soleil brûlant, nous avons découvert dès le début de l’été l’art de la photographe Rogi André au Musée Mai Manó ainsi qu’une grande exposition de Ákos Matzon dans la célebre galerie Judit Virág :  entre art et architecture, des oeuvres à la croisée des disciplines. C’est à  Bakáts Bunker, lieu alternatif que nous avons visité l’expo Sára Sebestyén, en dialogue avec des parisiens Hongrois Vera Molnar et Laszlo Horváth entre autres. Leurs oeuvres sont exposées  – après le Centre Pompidou et LAAC de Dunkerque – depuis deux ans au MŰMA également, à Balatonfüred.

L’OEIL DE L'ARCHITECTE

Laszlo Horvath
À peine arrivée à Paris, j’ai rencontré l’auteur d’un livre fraîchement édité, un livre magnifique : Le Corbusier vu par Laszlo Horvath. Laszlo Horvath a l’esprit créateur, qu’il s’agisse de ses photographies ou de ses films documentaires. Il nous fait découvrir quelques grandes personnalités du monde littéraire et artistique comme Roger Martin du Gard, Jacques Copeau, ou Vera Molnar. On connaît les images de Lucien Hervé : Le Corbusier vécu. Laszlo Horvath a pris le relais.  À travers son dernier livre, nous découvrons autrement l’univers de Le Corbusier.

Comment voir du foot à Budapest ? - Le Grand Guide

Football à Budapest
Budapest est incontestablement une grande ville de football. Que l’on soit seul, entre amis ou en famille, assister à un match dans un stade hongrois fait partie des expériences incontournables pour réussir son séjour dans la capitale. La ville abrite cinq clubs majeurs : Ferencváros, Honvéd, Újpest, MTK et Vasas. Chacun a sa propre identité, son âme et une histoire unique. Face à une telle diversité, il n’est pas toujours facile de savoir lequel découvrir en premier. Pour vous guider dans ce choix, la rédaction du JFB a conçu un comparatif complet des clubs de Budapest. Quel club est le moins cher ? Comment acheter des billets ? Qui a la meilleure ambiance ? Quelle tribune choisir ? Où mange-t-on le mieux ? Le JFB a assisté à cinq rencontres pour vous aider à y voir plus clair.

Gyula Czimra et le déshabillage paisible de l'existence 

Gyula Czimra
​​​​​​​Jusqu’au 14 septembre, l'œuvre de Gyula Czimra (peintre, 1901-1966) est présentée à la Galerie nationale hongroise. L’exposition, scindée en six parties et intitulée « Sans ombres » décrit soigneusement l’espace et l’univers intérieur du « Morandi hongrois » - le visiteur est véritablement envahi par le déluge stylistique de l’artiste non-conformiste. Selon ses propres mots, « J’ai passé une moitié de ma vie à me chercher » ; vers la fin de la présentation, cela sautera aux yeux : il s’est trouvé, dans sa plus pure vérité.

Don Pasquale de Donizetti à l’Opéra de Budapest

Don Pasquale
Créé en janvier 1843 à Paris, au Théâtre des Italiens, Don Pasquale est l’un des derniers opéras que nous a laissés Donizetti. Considéré par d’aucun comme son chef d’œuvre, voire comme un chef d’œuvre absolu, jugement quelque peu excessif, il n’en demeure pas moins qu’avec Don Pasquale, Donizetti a porté à son sommet un genre qui allait par la suite péricliter pour ne se retrouver qu’un demi-siècle plus tard avec Falstaff, l’opéra bouffe.

Que visiter à Budapest ? Les recommandations d’Alexandra Nadicsan, guide touristique

guide Budapest
​​​​​​​Chaque année, des dizaines de milliers de Français visitent Budapest, attirés par le charme de la capitale hongroise et ses prix attractifs. Mais au-delà des incontournables, la découverte peut vite manquer de relief. Pour sortir des sentiers battus, la rédaction du JFB est allée à la rencontre d’Alexandra Nadicsan, guide touristique francophone, qui fait découvrir la ville aux voyageurs en quête d’authenticité et de dépaysement culturel.

Les Noces de Figaro à l’Opéra de Budapest

Noces de Figaro
​​​​​​​Des Noces, tout a été dit. Rappelons que, créée le 1er mai 1786 au Burgtheater de Vienne, la pièce connut dans un premier temps un vif succès, au point que le public en bissa de nombreux airs. Néanmoins, ayant dû affronter une cabale, la pièce fut retirée au bout de seulement neuf représentations pour n’être reprise que trois années plus tard. C’est à Prague, où elle fut représentée en décembre de la même année, que la pièce connut la consécration qui s’imposait. „Toute la ville ne parle que de Figaro, ne joue, ne sonne, ne chante, ne siffle que Figaro” (Mozart).