A cœur ouvert
Un film de Marion Laine d'après le roman de Mathias Enard
Rencontre avec la réalisatrice à la veille de la première en Hongrie
Il y a juste un an le romancier Mathias Enard, prix Goncourt des lycéens est venu à Budapest. Cette année la réalisatrice Marionne Laine est passée par Budapest pour présenter son film « A cœur ouvert » tiré d'un autre roman d'Enard. Le film est tourné avec Juliette Binoche et Edgar Ramirez dans les rôles principaux.
Il y a juste un an le romancier Mathias Enard, prix Goncourt des lycéens est venu à Budapest. Cette année la réalisatrice Marionne Laine est passée par Budapest pour présenter son film « A cœur ouvert » tiré d'un autre roman d'Enard. Le film est tourné avec Juliette Binoche et Edgar Ramirez dans les rôles principaux.
Qu’est-ce que le projet Coménius?
Le projet Comenius a été nommé d’après Jan Amos Komenský, philosophe, grammairien et pédagogue tchèque qui s’occupa toute sa vie de perfectionner les méthodes d’instruction.
Nous avons rencontré, dans son bureau de l’Université Eötvös Loránd de Budapest, Vilmos Bárdosi, professeur des universités, directeur du Département d’Études Françaises et directeur de l’Institut des Langues romanes.
Olivier Assayas est venu à Budapest pour présenter son film Après Mai dans le cadre des Journées du Film francophone – en même temps qu’une rétrospective de ses films est présentée au cinéma Urania. C’est au café du cinéma que nous avons rencontré le réalisateur.
Après Mai sort en salles à Budapest peu après la première parisienne des salles bondées sur les quais de la Seine. C’est une fiction où l’on remarque des séquences documentaires. Mai 68 devient l’Histoire – s’agit –il d’un film historique ?
Une belle voix soprano, colorature – Patricia Petibon vient à Budapest pour le Festival de Printemps pour chanter les Illuminations de Britten. Elle se produit dans de grands théâtres lyriques européens comme au Festival d’Aix ou à Salzbourg. Elle a un grand répertoire : Des Indes Galantes de Rameau jusqu’aux chansons populaires espagnoles elle a réussi à apporter du nouveau dans son interprétation. A la veille de ses spectacles prévus à Munich, puis à Budapest elle nous a accordé une interview.
Peux-tu te présenter pour notre journal ?
Jean-Christophe, alias Wax Tailor : je ne suis jamais à l'aise avec le qualificatif : Dj/ compositeur etc., je dis souvent metteur en son, je trouve que c'est ce qui me résume le mieux au final.
Ton univers ?
Quand je parle de metteur en son, ce n'est pas pour inventer un bon mot, c'est que je me positionne par rapport à la musique ; ie, non seulement comme un compositeur mais comme quelqu'un qui a une vision d'appréhender la musique et qui aime bien, par tous les moyens nécessaire, comme disait Sartre, de se dire comment tu vas amener à travers de la matière, des éléments, de la composition, à travers des invités, à l'image d'un réalisateur qui monte son film. Musicalement, je viens de la culture hip-hop, j'ai grandi avec ça, ce qui me permet de faire une musique référentiel, qui n'est pas caché sous le manteau. J'assume pleinement certaines références, mais après, j'essaie d'en faire une digestion personnelle.