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Mémoire courte et politique symbolique !
Rencontre avec le philosophe G. M. Tamás
Homme de gauche, Gáspár Miklós Tamás fait partie des intellectuels hongrois qui ne craignent pas de faire entendre leur voix critique à l’égard des politiques tortueuses de leur pays. Il en fait les frais dans les années 70, sous le régime de Ceaucescu, en devant quitter sa Transylvanie natale pour Budapest ; en 78 il est renvoyé de son poste à l’université pour avoir publié des samizdats. Et en 2011, il doit prendre sa retraite anticipée de directeur de l’Institut de recherche philosophique de l’Académie hongroise des sciences suite à des attaques subies par son successeur.
Homme de gauche, Gáspár Miklós Tamás fait partie des intellectuels hongrois qui ne craignent pas de faire entendre leur voix critique à l’égard des politiques tortueuses de leur pays. Il en fait les frais dans les années 70, sous le régime de Ceaucescu, en devant quitter sa Transylvanie natale pour Budapest ; en 78 il est renvoyé de son poste à l’université pour avoir publié des samizdats. Et en 2011, il doit prendre sa retraite anticipée de directeur de l’Institut de recherche philosophique de l’Académie hongroise des sciences suite à des attaques subies par son successeur.
Les travaux de réaménagement de la place Kossuth ont démarré. La première étape a été marquée par le lancement de la construction d’un centre de visites et d’un parking souterrain d’une capacité de 400 à 500 places.
Le 13 mars dernier, le parti LMP (Faire de la politique autrement) a pris l’initiative d’organiser une journée de débat parlementaire sur les anciens services de sûreté de l’Etat, mais aussi sur la liste des espions. Les avis sont mitigés...
Cet entretien nous a permis de recueillir les impressions de l’écrivain David Collin sur deux sujets : les manifestations et son livre qui nous emmène dans les méandres de la mémoire, jusqu’en Argentine.
La galerie Várfok crée de véritables événements dans ses nouveaux espaces : des sculptures et des toiles de deux artistes y sont exposées. Plus célèbres au-delà des frontières hongroises que dans leur patrie, Aatoth Franyó et Ervin Patkai sont devenus amis à Paris.
De ministre des sports, Ferenc Gyurcsány est devenu en 2004 Premier ministre de la République hongroise, devenant par la même un poids lourd incontestable de la gauche libérale hongroise. Il est un véritable expert dans l’art de la survie politique et a résisté aux critiques les plus virulentes, notamment lors du scandale provoqué par son discours de 2006, au cours duquel il avait déclaré que son parti et ses dirigeants avaient usé de mensonges auprès des citoyens hongrois.