Pour une meilleure compréhension mutuelle
Un entretien avec M. László Madarász
Bien que peu connu du grand public, du fait de sa trop grande discrétion, László Madarász est ce que l’on appelle un homme d’exception. Au cœur des relations franco-hongroises depuis 22 ans, il a été le premier président de la CCIFH jusqu’en 1997. Diplômé de HEC et de la Harvard Business School, banquier réputé, membre de nombreux conseils d’administration, chevalier de l’Ordre National du Mérite et de la Légion d’honneur, médiateur nommé par le gouvernement hongrois pour les conflits d’intérêts entre la Hongrie et certaines grandes entreprises françaises jusqu’en décembre 2011, il siège aujourd’hui, entre autres, au Conseil de surveillance de la Banque centrale de Hongrie.
M. Madarász a accepté de retracer son parcours pour le JFB et nous livre son analyse sur la situation actuelle et sur les clefs d’une meilleure compréhension mutuelle.
Bien que peu connu du grand public, du fait de sa trop grande discrétion, László Madarász est ce que l’on appelle un homme d’exception. Au cœur des relations franco-hongroises depuis 22 ans, il a été le premier président de la CCIFH jusqu’en 1997. Diplômé de HEC et de la Harvard Business School, banquier réputé, membre de nombreux conseils d’administration, chevalier de l’Ordre National du Mérite et de la Légion d’honneur, médiateur nommé par le gouvernement hongrois pour les conflits d’intérêts entre la Hongrie et certaines grandes entreprises françaises jusqu’en décembre 2011, il siège aujourd’hui, entre autres, au Conseil de surveillance de la Banque centrale de Hongrie.
M. Madarász a accepté de retracer son parcours pour le JFB et nous livre son analyse sur la situation actuelle et sur les clefs d’une meilleure compréhension mutuelle.
L'article 152 du traité CE prévoit qu'un «niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en oeuvre de toutes les politiques et actions de la Communauté». A l’heure où, même en France, les problèmes se sont aggravés tant en ce qui concerne les possibilités d’accueil des patients qu’en termes de qualité des soins qui leur sont administrés, cette affirmation à encore tout du voeu pieu à l’échelle de l’Union.
Quel meilleur moyen de se faire une idée d’un système de Santé que de demander à ceux qui y travaillent ou qui le fréquente au quotidien ce qu’ils en pensent ?
C’est avec une exposition exceptionnelle dédiée aux objets d’art volés et retrouvés que le Musée des Beaux-Arts a ouvert ses portes à la rentrée. Les sculptures des 2ème et 3ème siècles issus des sites archéologiques, les joyaux très anciens sont présentés dans la première salle pour montrer que rien ne résistait aux voleurs - même pas les pierres sculptées de plusieurs tonnes. Plus loin on aperçoit des toiles célèbres de toutes les époques jusqu’à l’art contemporain et l’on finit le parcours par une statue d’Henry Moore.
Nombreux sont ceux qui ont pu avant de partir de Hongrie ou, souvent, de retour d’un voyage ou d’une expatriation apprécier les activités et l’accueil réservé aux visiteurs de l’Institut Hongrois de Paris au 92, rue Bonaparte. Au sein même de cet institut intervient aussi l’Association des Amis de l’Institut Hongrois de Paris qui œuvre pour une meilleure connaissance de la culture hongroise et que nous vous présentons aujourd’hui.
A l’étranger, et particulièrement en Hongrie, où le langage juridique reste un mystère pour les Hongrois eux-mêmes, il en va souvent autrement. Zsuzsanna Pronay, jeune avocate déjà, pourtant, dotée d’une solide expérience, a accepté de nous conter les cas qu’elle rencontre au quotidien au service des particuliers ou des entreprises. Voici donc le parcours d’une avocate francophone au pays de Mathias Corvin.