C’est mon plus beau rôle
Un heureux événement
Loin des clichés sur le bonheur parfait de la maternité, le réalisateur Rémi Bezançon, revient à travers son dernier film sur les vicissitudes du couple face à l’arrivée d’une petite fille. Appartenant à cette nouvelle vague du cinéma français, il dresse un portrait très cru sur les joies et les contraintes pré et post natales, avec beaucoup d’humour et d’authenticité. Nous l’avons rencontré pour évoquer son film, le casting ainsi que ses projets en cours et à venir.
Loin des clichés sur le bonheur parfait de la maternité, le réalisateur Rémi Bezançon, revient à travers son dernier film sur les vicissitudes du couple face à l’arrivée d’une petite fille. Appartenant à cette nouvelle vague du cinéma français, il dresse un portrait très cru sur les joies et les contraintes pré et post natales, avec beaucoup d’humour et d’authenticité. Nous l’avons rencontré pour évoquer son film, le casting ainsi que ses projets en cours et à venir.
Non, le «HaHa» (Hallgatói Hálózat) n’est pas un grand fou rire car dans ce contexte, celui de la réforme de l’enseignement supérieur, c’est plutôt la colère et la contestation que veut exprimer ce réseau d’étudiants. Il s’est constitué en mai 2011 au moment de l’annonce de cette réforme. Zsolt K. Horváth, historien, professeur au département Média de la faculté de lettres de Budapest, mais aussi militant et porte-parole du HaHa revient sur les mesures gouvernementales affectant le système universitaire.
Le 3 février dernier, les avions de la compagnie aérienne hongroise Malév sont restés cloués au sol. Une annonce s’ensuit : La compagnie n’a plus les moyens nécessaires pour maintenir ses activités. Après avoir cumulé des dettes conséquentes, et ce malgré un sursis, des tentatives de privatisation ou autre adoption de décrets, la société Malév s’est résignée à déposer le bilan. Retour sur un feuilleton qui a animé les débats ces derniers jours, et qui laisse place désormais à l’inquiétude.
A l’occasion du mois de la francophonie en Hongrie, l’Institut Français propose un concours qui met en lumière de jeunes talents en herbe. Cette compétition permet d’assister chaque année à un spectacle de qualité autour de la chanson francophone.
L’art d’aimer est une comédie sentimentale d’Emmanuel Mouret qui vient de sortir dans les salles de cinéma hongroises. A cette occasion, le réalisateur s’est déplacé à Budapest pour présenter son film. Nous sommes allés à la rencontre de ce réalisateur qui fait rimer humour avec amour.
C’est un monde à l’envers - souvent grotesque - qui apparaît dans les représentations de James Ensor dont une exposition lui est dédiée au Kogart. Le musée a réalisé au même moment une exposition des dessins de Tibor Csernus. Les fameux masques d’Ensor renaissent différemment sous le couteau de Livia Vajda, parisienne hongroise – une exposition à Paris et deux livres lui rendent hommage.
Dessinateur, scénographe, créateur de films d’animation, dont « My baby left me » primé au 45ème Festival du film de Berlin par l’ours d’argent, Milorad Krstic´ vient d’écrire une pièce de théâtre intitulée « Ruben Brandt ». Elle a été jouée et dansée au Mücsarnok de Budapest où s’est tenue une grande rétrospective de ses dessins regroupés sous le titre « Das Anatomische Theater ».
Les organisateurs ont levé le voile sur la sélection de films retenus pour cette 2ème édition. Au programme 23 opus seront projetés à l’Uránia, issus de 11 pays. Cet événement aura lieu du 23 février au 2 mars à Budapest, et présentera des œuvres récentes et inédites en Hongrie. Au rayon des nouveautés : un film surprise, une séance consacrée aux enfants, une tournée provinciale (du 3 au 31 mars) et en point d’orgue, "les Printemps Arabes", à travers des films et documentaires en provenance d’Egypte et de Tunisie.
Cette année est un peu particulière pour le Lycée Français Gustave Eiffel de Budapest (LFGEB). En effet, la communauté d’élèves, professeurs et parents s’apprête à célébrer les 50 ans de la création d’un Lycée Français à Budapest. Le LFGEB célébrera par la même occasion les 10 ans de son implantation sur le site actuel, rue Máriaremetei dans le 2ème arrondissement. C’est donc l’occasion pour celui-ci de dresser un bilan sur son parcours, ses orientations. M. Régis Haudecoeur, proviseur du LFGEB depuis la rentrée 2010, fait le point sur les atouts de son établissement, sa logique actuelle, son programme.