Les femmes au 6éme étage
Rencontre avec le réalisateur Philippe le Gyay à Budapest
C’est l’histoire d’un bourgeois un peu endormi, un peu inconscient de lui-même, de ses sentiments, qui va se réveiller en découvrant un monde différent, celui des femmes espagnoles dans les chambres de bonnes de son immeuble parisien et ça va changer sa vie. Cette comédie sociale a fait des millions d’entrées en France. Son réalisateur nous en révèle le secret.
Nombreux sont ceux qui ont pu avant de partir de Hongrie ou, souvent, de retour d’un voyage ou d’une expatriation apprécier les activités et l’accueil réservé aux visiteurs de l’Institut Hongrois de Paris au 92, rue Bonaparte. Au sein même de cet institut intervient aussi l’Association des Amis de l’Institut Hongrois de Paris qui œuvre pour une meilleure connaissance de la culture hongroise et que nous vous présentons aujourd’hui.
A l’étranger, et particulièrement en Hongrie, où le langage juridique reste un mystère pour les Hongrois eux-mêmes, il en va souvent autrement. Zsuzsanna Pronay, jeune avocate déjà, pourtant, dotée d’une solide expérience, a accepté de nous conter les cas qu’elle rencontre au quotidien au service des particuliers ou des entreprises. Voici donc le parcours d’une avocate francophone au pays de Mathias Corvin.
Considérant le seul fait que c’est un nom d’homme hongrois et en évitant de se lancer dans une longue analyse historique du nom Attila, ce titre correspond bien à notre sujet : les hommes hongrois, cultivent un aspect très brut de brut. Ne nous méprenons pas, il ne s’agit pas d’agressivité mais plutôt d’une marque de fabrique.
Á Budapest tous les chemins mènent à la place Deák et encore plus à la rue homonyme. Celle que l’on nomme Fashion street est, de fait, très bien située, au centre du centre ville. Fashion street : la seule rue portant un surnom anglais á Budapest, un passage jadis sans réel caractère avec quelques immeubles art nouveau magnifiques certes, mais que l’on pouvaient trouver partout ailleurs a Budapest.