Roumanie : un envol économique soutenable ?

  Après une décennie difficile ayant enregistré deux chocs de transition, dont le second, de 1997 à 1999, a porté la récession à 14% sur trois ans, la bonne santé du marché intérieur roumain entre 2000 et 2007 a permis à l’économie de maintenir un taux de croissance aux alentours de 5%, ce qui, même pour une économie en transition, est d’un niveau substantiel. Le record a été atteint en 2006 avec 7,8% de croissance qui ont compensé un certain essoufflement.

Ma Roumanie multiculturelle

La chronique de Dénes Baracs Échos de la francophonie   J’ai fait mes débuts dans l’apprentissage de la langue française en Roumanie, à Cluj (Kolozsvár en hongrois), cœur de la Transylvanie, dans un lycée roumain à la fin des années 40’. La tâche n’était pas facile car les mystères de la langue de Molière nous étaient alors expliqués en roumain, une langue que je ne connaissais pas encore.

"Mais que veut l’Europe ?"

Le 29 novembre dernier, l'Institut Français organisait un débat centré autour du livre Pour une Europe européenne - Une avant-garde pour sortir de l'impasse, écrit sous la direction de Henri de Grossouvre. Animé par Péter Balázs, ancien commissaire européen, ce débat réunissait François Loos (député), János Perenyi (ancien ambassadeur de Hongrie auprès du Conseil de L'Europe), Eric Maulin (directeur de l'Institut des Hautes Etudes Européennes de Strasbourg) et Henri de Grossouvre (directeur du Forum Carolus).

Des cadeaux pour toute la famille

  Grand-mère – Un abonnement au MUPA Pour notre chère mère-grand, mélomane devant l’Eternel, une idée s’est vite imposée: lui offrir un abonnement au MUPA (Mûveszetek Palotája). Jour après jour, ce sont plusieurs centaines de concerts qui sont proposés durant toute l’année, allant de la musique classique au jazz, en passant par le théâtre, la musique du monde ou encore des spectacles de danse.

Réjouissances au château

  Budapest parcours Par Emmanuelle Sacchet Image retirée.   Quoi qu’on en dise, une balade au château est forcément plaisante et bucolique, la preuve, on y revient toujours. En avalant un sandwich made in Petite Française au pied de la fontaine Mátyás kút, c’est tout un vent de bien-être puis de romantisme qui se lève sous un doux rayon de soleil de décembre.