Au secours des PME: le microcrédit en Hongrie
Au sein de l’Union Européenne, 99 % des entreprises enregistrées sont des PME, assurant deux tiers des emplois de l’économie européenne. Or, leur poids sur le marché reste loin du pouvoir des grosses multinationales, favorites du lobby et des intérêts nationaux et internationaux. Du fait de leur grand nombre et de leurs débouchés financiers limités dûs à leur petite taille, la situation des PME est disparate. Il est ainsi devenu important de prendre des mesures collectives pour assurer des ressources de financement, sorte de perfusion aux pièces détachées du moteur de l’économie.
Depuis sa fondation en France en 1998, l’association ATTAC est désormais présente dans près de quarante pays. Sa variante hongroise, regroupant de plus en plus de membres, a été créée en 2002. ATTAC Hongrie fait partie du mouvement altermondialiste international, mais il a défini ses objectifs en tenant compte des particularités hongroises, telles que le déroulement du changement de régime ou la politique économique, à leurs yeux ratée, du pays. Ses membres s’expriment souvent sur les événements politico-économiques et les problèmes sociaux hongrois qui allument de temps en temps de vifs débats.
Sous l’égide de l’ONU, un sommet énergie-climat a été organisé à Poznan (en Pologne) en décembre dernier, à l’occasion duquel les chefs d’État de l’Union Européenne ont tracé les lignes d’un nouveau programme européen sur le changement climatique. Ce dossier, très cher à la présidence française, n’a pourtant pas fait que des heureux: les pays de l’Europe de l’Est se heurteront désormais à des objectifs beaucoup plus contraignants que jusqu’ici.
20 % des énergies primaires du pays pourraient être fournies par l’utilisation des biomasses – a déclaré Imre Németh, le directeur du Holding Régional du Développement. Il y a certes des tentatives d’utilisation de l’énergie renouvelable en Hongrie, mais aux résultats peu probants pour l’instant.
1913 : la chorégraphie de Vaslav Nijinsky dans les décors et costumes de Nicolas Roerich fait scandale. Les mouvements grotesques, voire « hystériques », laissent le public complètement désorienté. Mais c’est aussi la « faute » à la musique de Stravinsky, avec ses rythmes frappants et harmonies bouleversées et bouleversantes.