Piste noire
Échos de la francophonie
La chronique de Dénes Baracs
De retour d’une semaine de vacances de neige, j’ai deux bonnes nouvelles à partager avec vous, chers lecteurs.
Le Festival du printemps de Budapest réserve de nombreuses surprises et moments savoureux aux mélomanes de passage par la capitale hongroise. Ce sera notamment le cas avec le concert de Goran Bregovic, accompagné de l’Orchestre des mariages et des enterrements pour un spectacle intitulé “Alcool”. Tout un programme.
Pour le centenaire du sculpteur Aladár Farkas la galerie du centre culturel Attila József consacre à l’artiste une importante rétrospective. Les photos de Lucien Hervé, réalisées dans l’atelier du sculpteur, mettent particulièrement en valeur les statues présentées. Elles sont exposées pour la première fois et leur grand format crée une ambiance exceptionnelle dans la salle.
Depuis approximativement un siècle et demi, la classe ouvrière apparaît régulièrement comme sujet des arts représentatifs.
Voilà bien longtemps que je n’avais évoqué dans cette colonne cette étrange population longtemps caricaturée que sont les expats-triés. Certes, ils peuvent être affectés d’un curieux syndrome qui leur fait parfois mélanger les langues en une espèce d’esperanto intime. Certes, de pays en pays, leur vie peut ressembler à une bibliothèque achetée chez Ikea. Elle vous est livrée en kit, par panneaux disséminés, par étagères à superposer et par beaucoup de cartons à jeter.
La chronique du palais de Natacha Guego