Fondateur du parti Lehet Más a Politika (La Politique peut être Différente), András Schiffer attend avec confiance les élections législatives du mois d’avril.

Échos de la francophonie La chronique de Dénes Baracs Le tsunami de 2004 a causé plus de victimes que le tremblement de terre de Haïti, mais je ne peux imaginer de tragédie plus horrible que celle qui a frappé Port-au-Prince, cette ville de toutes les malédictions. Concentré sur un territoire plus restreint, qui devait déjà subir tous les coups du destin, de l’histoire et de la nature implacable, ce cataclysme a tué beaucoup plus de femmes, d’hommes et d’enfants qu’il ne l’aurait fait dans un pays aux conditions “normales” (si l’on peut employer ce mot dans le cas de pays qui ont la malchance de se trouver dans des zones de convection des plaques tectoniques…). 

Photographe, cinéaste, écrivain, acteur… András Szirtes se considère avant tout comme un peintre. Artiste résident du Tűzraktér, centre d’art indépendant et autogéré, c’est là qu’il a élu domicile, dans son studio-atelier-chambre-laboratoire. C’est aussi là qu’il a accepté d’évoquer sa vie, son parcours, ses projets, livrant sans retenu apparente le visage d’un homme dont l’unique et vraie richesse est la liberté!

Budapest, capitale du thermalisme Des réductions temporaires, des rénovations continuelles, de nouveaux programmes – il semble que la capitale hongroise mérite vraiment son titre de “capitale du thermalisme”.  

La gamme de cosmétiques Omorovicza est née de l’amour des eaux thermales hongroises. Leurs créateurs, Stephen de Heinrich de Omorovicza et son épouse Margaret, se sont rencontrés et vivent à Budapest. Une rencontre placée sous le signe du succès.

La Hongrie n'est certes pas classée parmi les pays offrant les meilleures stations de ski en Europe, ses montagnes étant relativement petites, mais si l'on y regarde d’un peu plus près, les possibilités de s’y adonner aux sports d’hiver sont toutefois nombreuses. Petit tour d’horizon des meilleures pistes.

«Sam Milica Tomic... Je suis Milica Tomic... I am Milica Tomic...». La voix de cette artiste serbe, qui se présente dans toutes les langues tout en laissant voir son corps peu à peu mutilé, nous restera en tête bien longtemps après avoir quitté le musée Ludwig...