La Hongrie prête à effacer une grande partie de la dette nord-coréenne
La Hongrie est prête à effacer la plus grande partie de la dette de la Corée du Nord contractée auprès de Budapest lorsque le pays était gouverné par un régime communiste, a annoncé un porte-parole du ministère hongrois de l'Economie le 19 août dernier. «La Hongrie accepte de discuter d'un accord avec la Corée du Nord. Actuellement il semble que les Coréens du Nord auraient à rembourser 10% de leur dette en liquide et que le reste sera effacé», a indiqué Mark Kôszegi, porte-parole du ministère de l'Economie en confirmant une information en ce sens du quotidien britannique Financial Times.
Les élections municipales à Budapest
Quatre candidats sont parvenus à collecter les bulletins de recommandations nécessaires afin de pouvoir se présenter au poste de maire de Budapest lors les élections municipales qui auront lieu le 3 octobre prochain.
Le bilan de Gábor Demszky à la mairie de Budapest
Le 3 octobre prochain, les électeurs budapestois désignerons leur nouveau maire. Gábor Demszky (SZDSZ), qui occupe cette fonction depuis le changement de régime, n’est en effet pas candidat à sa propre succession.
Les nombreuses affaires de corruption révélées ces dernières années ont largement contribué à accentuer la victoire de la coalition FIDESZ-KDNP aux dernières élections législatives. Pour se montrer crédible en matière de lutte contre la corruption, le nouveau gouvernement entend créer une commission d’enquête au Parlement à chaque fois que toute la lumière n’aura pas été faite sur une affaire. L’affaire Sukoró en est un parfait exemple.
“Le centre pour l’ordre public” du Jobbik
Le candidat du Jobbik à la mairie de Miskolc, Márton Szegedi, souhaiterait exclure les Roms criminels récidivistes de la ville et les parquer dans un camp.
Le 7 septembre 2010, devant les professeurs du cercle Batthyány, le Premier Ministre a profité de sa présence pour faire le bilan des cent premiers jours de l’action de son gouvernement. Devant un auditoire manifestement glacial et impassible, il n’a pas hésité à employer le terme de révolution pour qualifier son arrivée au pouvoir. Quiconque prétend vouloir comprendre, analyser et, si nécessaire, critiquer l’actuelle politique du cabinet Orbán, doit se pencher sur le contenu de ce discours.