Tendances
Le marché de l’art hongrois reste encore relativement replié sur lui-même. Une tendance qui évolue lentement mais sûrement, comme nous l’explique Délia Vékony, historienne de l’art.
Le marché de l’art hongrois reste encore relativement replié sur lui-même. Une tendance qui évolue lentement mais sûrement, comme nous l’explique Délia Vékony, historienne de l’art.
La palette des évènements artistique s'enrichit cette année d'un nouveau marché spécialisé dans l'art contemporain. Le JFB a rencontré Zsófi Faur, l'une des organisatrices de Art Market Budapest, qui dirige par ailleurs la galerie portant son nom.
Botero est comme chez lui à Budapest, entre ses œuvres, au Musée des Beaux Arts. On y retrouve des toiles et quelques sculptures de son immense œuvre, provenant des musées du monde entier. Dès ses débuts, cet artiste colombien est influencé par les muralistes mexicains et l’art précolombien. On remarque également son amour pour la renaissance italienne, qu'il a appris à apprécier durant un séjour florentin. Cette exposition offre au spectateur de se promener entre ses sculptures, habituellement exposées sur les Champs Elysées à Paris, dans les jardins de Monaco ou sur les pentes historiques du Musée de Jérusalem. Ses personnages, aux dimensions exagérées, deviennent ainsi les maîtres des lieux.
Responsabilités dans la tragédie des boues rouges
La réglementation actuelle sur le contrôle des usines à risque ainsi que l’attitude des autorités ont de quoi soulever les critiques, pourtant seuls les dirigeants de Mal Zrt sont actuellement inquiétés suite à l’inondation de boues toxiques survenue le 4 octobre dernier.
Le gouvernement a décidé de suspendre tout financement public des fonds de pension à compter du 1er novembre prochain et jusqu'à la fin 2011. L'arrêt du soutien aux fonds de pension est censé faire économiser à l'État environ 60 milliards de HUF en 2010 (près de 220 millions d'euros). L’occasion de faire le point sur le système des retraites en Hongrie.
Trois secteurs économiques taxés
La loi sur les impôts exceptionnels de crise, visant les entreprises de télécommunication, d’énergie et de grande distribution, a été adoptée par le Parlement lundi 18 octobre, devenant ainsi l’un des piliers les plus importants du deuxième paquet fiscal du gouvernement, et ce dans le but de maintenir le déficit public plafonné à 3,8% cette année.