La mythologie d’Éva Rónai
Tapisseries dans les galeries, de Budapest à Dijon
Une immense liberté rayonne dans les tapisseries d’Éva Rónai où, entre ciel et terre, les vagues de l’océan jaillissent de la surface du tissage. Les légendes deviennent réelles au travers de son art, comme dans l’expédition de l’irlandais Brendan, et les personnages bien réels. Ses plus proches rentrent dans sa mythologie La Conquête des Hongrois, où l’histoire et les fêtes de famille de nos jours, s’entrecroisent dans une même œuvre.
Une immense liberté rayonne dans les tapisseries d’Éva Rónai où, entre ciel et terre, les vagues de l’océan jaillissent de la surface du tissage. Les légendes deviennent réelles au travers de son art, comme dans l’expédition de l’irlandais Brendan, et les personnages bien réels. Ses plus proches rentrent dans sa mythologie La Conquête des Hongrois, où l’histoire et les fêtes de famille de nos jours, s’entrecroisent dans une même œuvre.
L’heure du départ a sonné pour René Roudaut, Ambassadeur de France en Hongrie depuis septembre 2007, après un long mandat dans ce pays d’Europe centrale. Il rejoint, provisoirement sans doute, l’Administration centrale du Ministère des Affaires étrangères à Paris où il va piloter un groupe de travail sur l’évaluation des diplomates. Roland Galharague le remplace à partir du 12 mars. René Roudaut fait pour le JFB le bilan de ses 4 ans et demi passés à Budapest.
Ce petit bout de femme au regard déterminé et au discours engagé ne laisse pas insensible. Depuis la Révolution de jasmin en Tunisie où elle a joué un rôle majeur via son blog «A Tunisian girl», elle sillonne le monde pour parler de son expérience et du combat politique dan son pays qui, malgré la chute de Ben Ali, est loin d’être fini. Elle a posé ses valises à Budapest le 24 février pour quelques jours de rencontres, de conférences et la présentation du film/documentaire de Mourad Ben Cheikh «Plus Jamais Peur» projeté dans le cadre des journées du film francophone. Elle nous livre ses sentiments sur les événements tunisiens et nous parle de son engagement.
Le Parfum de la Jacinthe est le dernier volet d’une trilogie. Ecrit sous forme de nouvelles, le premier chapitre revient notamment sur une rencontre hors du temps, qui eût lieu dans l’établissement Gellért à Budapest. L’auteur, Eugène Geoffroy, revient au cours de cet entretien sur la genèse de cette trilogie, ses inspirations ou encore son attirance pour Budapest.
Loin des clichés sur le bonheur parfait de la maternité, le réalisateur Rémi Bezançon, revient à travers son dernier film sur les vicissitudes du couple face à l’arrivée d’une petite fille. Appartenant à cette nouvelle vague du cinéma français, il dresse un portrait très cru sur les joies et les contraintes pré et post natales, avec beaucoup d’humour et d’authenticité. Nous l’avons rencontré pour évoquer son film, le casting ainsi que ses projets en cours et à venir.