Le mouvement éternisé dans des photo-montages de Lajos Lengyel
et le riche panorama estival des plus grands musées de Budapest
Au musée des Arts Décoratifs de Budapest dans la salle de la coupole une nouvelle exposition sauve de l’oubli le mouvement hongrois de l’art gestuel avec des documentaires, des spectacles et des images dont le célèbre photomontages de Lajos Lengyel artiste et typographe de l’avant-garde hongroise – parti du même atelier que Kassák, Kepes ou Moholy Nagy – il est resté en Hongrie et on ne découvre qu’à titre posthume toute son œuvre. Dans cette exposition, il éternise la danseuse Etel Nagy dans ses photomontages.
Au musée des Arts Décoratifs de Budapest dans la salle de la coupole une nouvelle exposition sauve de l’oubli le mouvement hongrois de l’art gestuel avec des documentaires, des spectacles et des images dont le célèbre photomontages de Lajos Lengyel artiste et typographe de l’avant-garde hongroise – parti du même atelier que Kassák, Kepes ou Moholy Nagy – il est resté en Hongrie et on ne découvre qu’à titre posthume toute son œuvre. Dans cette exposition, il éternise la danseuse Etel Nagy dans ses photomontages.
Depuis toujours, le Jobbik revendique sa filiation avec l’amiral Horthy, régent de la Hongrie de 1920 à 1944. Ce dernier est célébré par les partisans du Jobbik comme le seul homme d’Etat ayant tenté et réussi à récupérer certaines régions perdues par la Hongrie après la signature du Traité de Trianon en 1920. Ainsi est-il vu comme un défenseur de la grande nation hongroise, millénaire et fière d’elle. Cette politique territoriale fut cependant concrétisée par une collaboration, aux conséquences humaines désastreuses, avec l’Allemagne nazie, acceptant l’adoption de lois anti-juives et la déportation massive de populations.
Entouré de lycéens et d’autres lecteurs curieux Mathias Enard a parlé à l’Institut Français de Budapest de son roman dédié à Michel-Ange et au voyage de celui-ci à Istanbul pour construire un pont à la Corne d’Or. Ce récit s’empare d’un fait authentique pour déployer les mystères du voyage.
Quel coin de Budapest pourrais-je faire connaître aux lecteurs français le 14 juillet ? La réponse m’est venue automatiquement : Király utca !
Dans une période où le gouvernement multiplie les actions pour mettre en avant les spécialités et produits hongrois, Hungaricums de tous types, il n’est pas inutile de faire un petit tour d’horizon de la gastronomie hongroise avec, bien entendu, quelques recettes et tendances.