Les endettés en devises étrangères, suite...
"On peut se sentir bien partout, mais c’est toujours mieux d’être chez soi"- dit le proverbe. Après la fin du moratoire des expulsions, le gouvernement doit à nouveau se confronter au problème récurrent des endettés en devises étrangères, d’autant plus qu’il a promis qu’il, “ne laisserait personne sur le bord de la route”. Il veut désormais résoudre cette question par la création de la Nemzeti Eszközkezelô Társaság (société nationale de gestion d’actifs).