Pour mettre fin à une analyse politique ethnocentriste
Un des problèmes les plus préoccupants dans la perception qu’ont les Français de la Hongrie réside dans la volonté que nous avons de calquer notre spectre politique sur celui d’un pays qui n’a ni la même histoire, ni les mêmes traditions. Les journalistes et intellectuels qui transcrivent la situation politique sont souvent partisans et il est difficile d’échapper aux clichés faciles. Pour éviter ce piège, le JFB a décidé de demander à deux fervents acteurs de la politique hongroise de vous présenter la vision politique des deux partis qui font le plus parler d’eux en termes d’idées : La Fidesz-MPSz (Alliance des jeunes démocrates-Union civique hongroise), parti au gouvernement et le LMP (Une autre politique est possible), parti d’opposition membre du parti vert européen depuis 2011.
L'article 152 du traité CE prévoit qu'un «niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en oeuvre de toutes les politiques et actions de la Communauté». A l’heure où, même en France, les problèmes se sont aggravés tant en ce qui concerne les possibilités d’accueil des patients qu’en termes de qualité des soins qui leur sont administrés, cette affirmation à encore tout du voeu pieu à l’échelle de l’Union.
Quel meilleur moyen de se faire une idée d’un système de Santé que de demander à ceux qui y travaillent ou qui le fréquente au quotidien ce qu’ils en pensent ?
C’est avec une exposition exceptionnelle dédiée aux objets d’art volés et retrouvés que le Musée des Beaux-Arts a ouvert ses portes à la rentrée. Les sculptures des 2ème et 3ème siècles issus des sites archéologiques, les joyaux très anciens sont présentés dans la première salle pour montrer que rien ne résistait aux voleurs - même pas les pierres sculptées de plusieurs tonnes. Plus loin on aperçoit des toiles célèbres de toutes les époques jusqu’à l’art contemporain et l’on finit le parcours par une statue d’Henry Moore.