« Bonjour János ! – Ca va, Károly ? »
Une exposition de János Bér et Károly Klimó à l’Institut français et Consolation à Kiscell de János Bér
Les toiles et les collages de János Bér et de Károly Klimó dialoguent dans la salle de l’exposition comme les artistes eux mêmes dialoguent, depuis des décennies entre, Paris et Budapest. C’est sur ces mots que cette exposition fut ouverte par les deux artistes et par François Laquièze qui dirige l’Institut français de Budapest. Les œuvres de János Ber réapparaissent à Budapest, après de longues années d’absence. Elles sont présentées, simultanément, à Kiscell dans la prestigieuse chapelle du musée. Nous avons rencontré les deux artistes lors du vernissage.
Les toiles et les collages de János Bér et de Károly Klimó dialoguent dans la salle de l’exposition comme les artistes eux mêmes dialoguent, depuis des décennies entre, Paris et Budapest. C’est sur ces mots que cette exposition fut ouverte par les deux artistes et par François Laquièze qui dirige l’Institut français de Budapest. Les œuvres de János Ber réapparaissent à Budapest, après de longues années d’absence. Elles sont présentées, simultanément, à Kiscell dans la prestigieuse chapelle du musée. Nous avons rencontré les deux artistes lors du vernissage.
Après presque 13 ans à Budapest, me voici de retour dans ma ville natale. Pas question pour autant de vous laisser tomber. Alors, bien sûr, je ne vous parlerais plus des restaurants en Hongrie mais au gré de mes balades je vous proposerais des idées de visites, de petits restaurants que j’aime, des découvertes à faire si vous passez par là où mes pas me portent.
Près de seize ans se sont écoulés depuis le premier protocole de coopération entre le Conseil général du Finistère et le département hongrois du Csongrád en 1996. Comme nous allons le voir cette coopération est toujours dynamique aujourd’hui.
Bien que peu connu du grand public, du fait de sa trop grande discrétion, László Madarász est ce que l’on appelle un homme d’exception. Au cœur des relations franco-hongroises depuis 22 ans, il a été le premier président de la CCIFH jusqu’en 1997. Diplômé de HEC et de la Harvard Business School, banquier réputé, membre de nombreux conseils d’administration, chevalier de l’Ordre National du Mérite et de la Légion d’honneur, médiateur nommé par le gouvernement hongrois pour les conflits d’intérêts entre la Hongrie et certaines grandes entreprises françaises jusqu’en décembre 2011, il siège aujourd’hui, entre autres, au Conseil de surveillance de la Banque centrale de Hongrie.
M. Madarász a accepté de retracer son parcours pour le JFB et nous livre son analyse sur la situation actuelle et sur les clefs d’une meilleure compréhension mutuelle.