Entretien avec Patricia Petibon
Les Illuminations au Festival de printemps de Budapest
Une belle voix soprano, colorature – Patricia Petibon vient à Budapest pour le Festival de Printemps pour chanter les Illuminations de Britten. Elle se produit dans de grands théâtres lyriques européens comme au Festival d’Aix ou à Salzbourg. Elle a un grand répertoire : Des Indes Galantes de Rameau jusqu’aux chansons populaires espagnoles elle a réussi à apporter du nouveau dans son interprétation. A la veille de ses spectacles prévus à Munich, puis à Budapest elle nous a accordé une interview.
Une belle voix soprano, colorature – Patricia Petibon vient à Budapest pour le Festival de Printemps pour chanter les Illuminations de Britten. Elle se produit dans de grands théâtres lyriques européens comme au Festival d’Aix ou à Salzbourg. Elle a un grand répertoire : Des Indes Galantes de Rameau jusqu’aux chansons populaires espagnoles elle a réussi à apporter du nouveau dans son interprétation. A la veille de ses spectacles prévus à Munich, puis à Budapest elle nous a accordé une interview.
Peux-tu te présenter pour notre journal ?
Jean-Christophe, alias Wax Tailor : je ne suis jamais à l'aise avec le qualificatif : Dj/ compositeur etc., je dis souvent metteur en son, je trouve que c'est ce qui me résume le mieux au final.
Ton univers ?
Quand je parle de metteur en son, ce n'est pas pour inventer un bon mot, c'est que je me positionne par rapport à la musique ; ie, non seulement comme un compositeur mais comme quelqu'un qui a une vision d'appréhender la musique et qui aime bien, par tous les moyens nécessaire, comme disait Sartre, de se dire comment tu vas amener à travers de la matière, des éléments, de la composition, à travers des invités, à l'image d'un réalisateur qui monte son film. Musicalement, je viens de la culture hip-hop, j'ai grandi avec ça, ce qui me permet de faire une musique référentiel, qui n'est pas caché sous le manteau. J'assume pleinement certaines références, mais après, j'essaie d'en faire une digestion personnelle.
Le neuvième Prix Hungarica, d’un montant de €4000, vient d’être attribué par son jury à Mateusz Chmurski pour sa thèse de doctorat en littérature d'Europe centrale, soutenue à l’université de Paris-Sorbonne, en cotutelle avec l’Université de Varsovie et intitulée „Figures de la modernité.
Le 10 janvier s’est tenu le vernissage de la Mazars galéria une initiative visant à permettre à des artistes talentueux de présenter et de vendre leurs œuvres. Exposés au sein des locaux de Mazars Hongrie, ces œuvres sont le témoignage de la volonté du célèbre cabinet comptable international d’ouvrir une réflexion sur les valeurs de l’Art et sur le monde au-delà de l’entreprise.