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Ne tirez plus sur les labos !

 Dans les pays de l’OCDE, les dépenses en médicaments, représentent 20% des dépenses de santé. Pourtant, la situation des laboratoires pharmaceutiques ne justifie pas l’a priori négatif dont ils font systématiquement l’objet.   Depuis l’avènement des médias, le chercheur qui met au point un nouveau médicament est révéré par le grand public. Bizarrement, le laboratoire qui a permis que cette découverte voit le jour est, lui, prié de se faire tout petit. De fait, on connaît beaucoup mieux Michel-Ange que Jules II, son mécène.   Ce manque de reconnaissance n’est rien, à côté des problèmes rencontrés dans les domaines de la protection de la propriété intellectuelle et de la mise en vente du médicament.

LES LIVRES DU JFB

En balade avec Iza…Voilà un roman dont le titre est aussi énigmatique que le livre lui-même. Il est en effet difficile de saisir le sens aussi bien du titre originel (Pilátus) que de sa traduction française (La Ballade de la vierge puis La Ballade d’Iza). Petite tentative de décryptage…

Réforme de la santé : les principales measures

 C'est dans un contexte de santé publique assez alarmant (espérance de vie en Hongrie de 68 ans, soit 6 ans de moins que la moyenne européenne) que le Parlement hongrois a accepté, après de longs mois de discussions, la réforme du système de santé proposée par le gouvernement. Cette réforme comprend une première série de mesures qui s'appliquent dès aujourd'hui. Elles visent à réduire le lourd déficit du secteur tout en améliorant la qualité des soins. Voici en résumé, les principales mesures qui concernent toutes les parties prenantes du domaine de la santé.   1. Consultations médicales :   responsabiliser les patients et faire disparaître les gratifications  

FRANCE 24

  Échos de la francophonie La chronique de Dénes Baracs Face à mon ordinateur, en train de regarder le journal de la première chaîne d’informations en continu française, FRANCE 24, je vois Nouri al-Maliki, le premier ministre irakien qui tient une conférence de presse. Soudain, on entend un grand boum qui vient de dehors, une détonation puissante. Les visages se figent, mais le politicien ne ralentit pas son discours, il continue comme si de rien n’était.  

REGARDERA-REGARDERA PAS

  Voilà bien quel était le grave dilemme de Bécassine depuis que ses copines de Clocher-les-Bécasses ne cessaient de lui échauffer la coiffe avec cette série télévisée qui, paraît-il, était trop marzh (sensass en gaélique). Depuis leur contamination, elles étaient toutes tombées jupons par-dessus tête et s’étaient mises à faire n’importe quoi :   -Jouer au poker une fois par semaine en avalant de grandes bolées de cidre dans d’immenses mugs blancs (tasses en ricain) parce que le Quimperlé ça fait démodé.   . Déblatérer beaucoup sur l’Amou-ouour et zieuter d’un air concupiscent tous les coqs pré pubères du village (et allez savoir pourquoi, surtout les jardiniers ?).  

Un vin d’esprit

 Tous les amateurs de vin ont leur petites préférences au niveau des terroirs, cépages et producteurs. Je suis de ceux-là. J’aime bien les vins corsés et puissants, le Syrah chez Bock (Villány) ou le Cabernet Franc chez Béla Vincze (Eger). Mais je n’ai jamais aimé les vins rouges du lac Balaton.   Pour moi, le lac Balaton n’était pas un terroir adapté au vin rouge.   Mais il y a peu de temps, j’ai changé d’avis.  

Coup de poing !

J'en ai vraiment marre des endroits soit disant chics ou branchés, très bien situés avec des noms à consonance anglo-saxonne ou méditerranéenne et où l’on paye assez cher pour très mal manger ! J’ai encore fait cette expérience il y a peu. Pour ne pas le citer… c’était au Wall Street sur Andrássy. L’endroit semble «cosy», très fréquenté par les étrangers, avec une carte, comme souvent, mixte, mélangeant cuisine hongroise et cuisine internationale.