Qu’ils soient de passage ou expatriés plusieurs années, les francophones sont légion à Budapest. Leurs impressions sont peut-être les vôtres !

Clowns sans frontières   On dit depuis longtemps que le rire est le meilleur des remèdes. Certains ne se contentent pas de le penser, mais le démontrent. C’est le cas des clowns, qui depuis 15 ans redonnent de la joie au coeur aux enfants malades hospitalisés en Hongrie.

Mathias Schauwecker à la Galerie Várfok Formé à l’Ecole des Beaux Arts de Paris, le jeune zürichois Mathias Schauwecker a poursuivi sa carrière de peintre durant un quart de siècle dans la capitale française. Ses toiles et dessins sur papier inspirés d’oeuvres poétiques telles que les haikus et influencés par les grands maîtres de la psychanalyse sont exposés à la galerie Várfok.

Une maison d'éditions hongroise met le design à la portée des plus jeunes. Csimató Kiadó (www.csimato.hu) a eu la bonne idée de demander à plusieurs dessinateurs hongrois d'illustrer de manière différente les mêmes contes (le petit chaperon rouge et Blanche Neige et les 7 nains). Le tout dans des livres de petit format, à petit prix et sans texte.

Portrait d’István Zelnik Cet ancien diplomate qui possède une collection unique de 16 000 pièces d’antiquités d’Asie du Sud Est, estimées à 1,5 milliard de dollars, ouvrira un musée gigantesque en septembre sur l’avenue Andrássy, tout en menant des fouilles archéologiques au Cambodge.

A la Rencontre de Joao Proenca   Joao Proenca fait partie de ces personnes qui saisissent l’opportunité d’une expatriation pour pouvoir se réaliser dans ce qu’ils ont de plus cher, en l’occurrence ici la peinture, et plus précisément la peinture contemporaine. Son style, il se l’approprie grâce à quelques cours de peinture, mais avoue qu’il se plait à traiter directement avec la matière sans s’enfermer dans des codes artistiques.

BKV contre Alstom   La quatrième ligne du métro de Budapest est un projet qui a longuement retenu l’attention de l’opinion publique et a été également l'objet de débats mouvementés au sein du Parlement hongrois. C’est sous la houlette du Parti Socialiste que l’idée émergea et que le choix du fournisseur des rames de métro fut établi.