Un ermite francophone vit près du lac Balaton

Szent György hegy
Au nord du lac Balaton, à l'ouest, s'élèvent les « Montagnes Témoins ». Les Hongrois appellent ainsi ces volcans éteints qui témoignent de l'activité volcanique de la région d’il y a trois millions d'années. Le plus connu et le plus élevé est le Badacsony (438 m). A six kilomètres de là, au nord-ouest, se trouve la montagne de Saint-Georges, en hongrois Szent György hegy (415 m). C'est un but d’excursion apprécié des randonneurs qui y découvrent, en montant par la face nord, des orgues basaltiques et, au sommet, une vue extraordinaire sur le lac Balaton, les ruines du château de Szigliget et la chaîne des anciens volcans.

L’œil de Paris – Il faut qu’une porte soit ouverte ...

L'oeil de Paris
« L’œil de Paris ».  Tel était le surnom du photographe Brassai devenu célèbre par ses séries « Paris secret » et « Paris de nuit ». Ce Parisien hongrois - immortalisé dans un roman de Henry Miller – est le sujet du film documentaire hongrois auquel le surnom donne aussi son titre. Et c'est à l'issue de la projection de ce film qu'a été présenté le livre de Júlia Cserba : Il faut qu’une porte soit ouverte, composé de 55 interviews réalisés à Paris avec des artistes : photographes, plasticiens et galeristes, mais également écrivains, comédiens et architectes.

Luana Naquin (France) et son projet “Afro Fusion” à Budapest

Luana Naquin
École de la Désobéissance (EdD) : Luana Naquin, tu es danseuse, performeuse pluridisciplinaire, enseignante de danse. Tu es d’origine française mais tu es basée à Berlin depuis plusieurs années. Du 21 au 25 août tu viens à Budapest pour enseigner pendant une semaine à l’École de la Désobéissance. Ton cours s’intitule “Afro Fusion”, où tu enseigneras aux élèves les danses africaines, telles que le Ndombolo (Congo), l’Azonto (Ghana), l’Afro House (Angola), l’Amapiano (Afrique du Sud) et le Naija Street styles (Nigéria). 

Série d’entretiens avec des artistes francophones qui rejoignent cette année l'École de la Désobéissance à Budapest

Ecole de la désobéissance
1ère partie: Marion Binois (France) et son projet “Cauchemar” à Budapest École de la Désobéissance (EdD): Marion Binois, artiste française interdisciplinaire, chorégraphe, modèle, tu touches à tout, tu fabriques des masques, tu danses, tu crées des spectacles… Du 14 au 18 août tu viens à Budapest pour enseigner pendant une semaine dans le “Arts & Healing” Masterclass, dispensé par l’École de la Désobéissance. Quel projet tu amènes ? Qu’est-ce que les élèves vont apprendre et faire avec toi ?

Rencontre avec Péter Csaba

Péter Csaba
Rencontre avec Péter Csaba, violoniste de formation mais surtout chef d’orchestre roumain d’origine hongroise dont le talent est mondialement reconnu. Détenteur de la légion d’honneur, membre de l’ordre de la rose blanche, ce dernier se verra décerné ce mois-ci la légion d’honneur espagnole. Entretien exclusif.

​​​​​​​„Le hasard dans l’Histoire, une toute-puissance ?” - Un hôte de marque à l’Institut français de Budapest : Jean-Noël Jeanneney 

Jeanneney
Fils de Jean-Marcel Jeanneney, ministre du général De Gaulle, Jean-Noël Jeanneney, ancien élève de l’École Normale, diplômé de Sciences Po, agrégé d’Histoire, s’est fait bien plus qu’un prénom. Ayant lui-même occupé des postes ministériels, professeur émérite des Universités à Sciences Po, Jean-Noël Jeanneney a assumé de hautes fonctions dans les sphères de l’Administration. Ayant entre autres présidé Radio France, RFI et la Mission du Bicentenaire de la Révolution ou encore la Bibliothèque nationale de France, Jean-Noël Jeanneney produit chaque samedi l’émission Concordance des temps sur France Culture. Par ailleurs auteur de nombreux ouvrages dont deux volumes de Mémoires qui viennent de sortir sous le titre : „ Le rocher de Süsten” (1). Il n’est donc pas surprenant que son intervention à l’Institut ait attiré un public nombreux et de qualité, tant côté hongrois que français.