Mauvaise réputation

Les affaires d’Orbán Kolompár Ce n’est pas la première fois qu’une enquête est ouverte à l’encontre du président de l’autorité  locale tzigane nationale (OCÖ), Orbán Kolompár. Bien que cet homme politique se déclare innocent, les affaires dans lesquelles il est impliqué ont entaché la réputation de cette organisation majeure de la politique rrome hongroise

Visages politiques: Krisztina Morvai

Krisztina Morvai, juriste et juge, a fait ses études à l’Université Eötvös Loránd (ELTE) de Budapest ainsi qu’à l’Université de Londres. Elle a enseigné à la faculté de droit de l’Université du Wisconsin en 1993 et 1994 et travaillé à Strasbourg en 1995 en tant que juriste du Comité Européen des Droits de l’homme. Entre 2002 et 2006, elle était la déléguée hongroise du Comité pour la lutte contre la discrimination à l’égard des femmes au sein des Nations Unies, mais le cabinet de Ferenc Gyurcsány a refusé de la reconduire à ce poste en 2006. Depuis, elle a participé à de nombreuses manifestations contre les partis socialiste et libéral et a accepté de figurer en tête de liste du parti nationaliste Jobbik aux élections européennes de 2009. Ce scrutin lui a permis de gagner un mandat au Parlement européen mais, bien qu’elle soit l’une des figures emblématiques du mouvement Jobbik, elle n’a officiellement toujours pas rejoint ce parti.

Réforme et synergies

Image retirée.Dans le cadre d’une réforme plus générale, visant à optimiser le fonctionnement des services publics, les services de représentation économique à l’étranger ont été scindés en deux entités distinctes. Cette scission marque une nouvelle étape de la réorganisation du dispositif d’appui à l’internationalisation des entreprises françaises vers une plus grande spécialisation qui permettra de renforcer l’efficacité de chacun tout en préservant les synergies naturelles de ces services.

Petit tour de contrôle

Les apparences sont parfois trompeuses. Lorsque l’on pénètre dans le métro de Budapest, la première chose qui saute aux yeux, ce n’est pas la beauté de l’architecture ou la modernité des infrastructures, mais bien la présence, rassurante ou non, des gardiens du temples, les contrôleurs de billets. Le réseau local du BKV est-il vraiment si bien surveillé ?